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Le chancelier fédéral Olaf Scholz au Mémorial de la résistance allemande, en compagnie de Bärbel Bas, présidente du Bundestag allemand, et de Manuela Schwesig, présidente du Bundesrat

Le chancelier fédéral Olaf Scholz au Mémorial de la résistance allemande, en compagnie de Bärbel Bas (à droite), présidente du Bundestag allemand, et de Manuela Schwesig, présidente du Bundesrat

Photo : Gouvernement fédéral/Rau

L’essentiel en bref :

  • Les citoyennes et citoyens qui se sont soulevés contre le régime national-socialiste avaient des convictions politiques et religieuses très différentes : femmes et hommes, soldats et civils, chrétiens et athées, sociaux-démocrates, communistes et libéraux, syndicalistes et entrepreneurs.
  • Dans les premières années de la République fédérale d’Allemagne, les résistants étaient encore considérés par beaucoup comme des « traîtres ». En 1954, le président fédéral Theodor Heuss a instauré la tradition de commémoration du 20 juillet avec son discours.
  • Dans son discours, le chancelier fédéral Olaf Scholz a rappelé la conscience des membres de la résistance qui voulaient rétablir la « majesté du droit », et leur foi en une autre Allemagne au-delà du régime de non-droit national-socialiste.
  • M. Scholz a ensuite souligné que l’engagement de citoyens actifs était également essentiel dans le présent, aussi bien au sein des cercles d’amis et du voisinage que dans le cadre d’associations, d’initiatives ou d’organisations.